« Panneaux antivaccins Covid-19 à Toulouse »: Réinfo Liberté explique ses résultats
IMPORTANT. Les vidéos et articles publiés ne sont pas des incitations médicales, ce sont des considérations à caractère général et non destinées à une personne en particulier ; ce sont des opinions d’experts qui participent aux débats, qu’ils soient scientifique, éthique et/ou médical. La science, la vraie, est la continuelle remise en cause des connaissances. Un consensus scientifique ne peut être que provisoire et n’a donc de légitimité que s’il est exprimé à un moment précis pour une durée limitée et, surtout, que s’il représente un compromis entre tous les courants scientifiques du moment, avec la participation d’experts pouvant avoir des avis divergents.
Les contenus de ce site ne peuvent donc pas constituer des provocations à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, ni non plus des provocations à adopter des pratiques ayant une finalité thérapeutique ou prophylactique.
Les contenus de ce site ne peuvent donc pas constituer des provocations à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, ni non plus des provocations à adopter des pratiques ayant une finalité thérapeutique ou prophylactique.
Alors que la Préfecture et la mairie de Toulouse tentent de les faire retirer, les panneaux d’affichages de Réinfo Covid et Réinfo Liberté sont toujours présents dans la ville rose. Nous avions convenu dans un précédent entretien avec Vincent Pavan, président de cette seconde association, que nous suivrons leur méthode afin de comprendre en quoi leur message « Un accident cardiovasculaire pour 100 injections (ou myocardite, péricardite, angio-œdème…). La santé de nos enfants vaut plus que des vaccins expérimentaux » est pertinent.
Également membre du Conseil scientifique indépendant, Emmanuelle Darles l’accompagne pour détailler leur calcul à l’occasion de ce débriefing :
Présentation PDF à l’appui, ils présentent leur méthode de calcul mathématique et informatique qui leur a permis d’obtenir ce chiffre d’un effet indésirable grave pour 100 injections. Les deux enseignants-chercheurs expliquent que l’on estime, dans la culture scientifique, que seul 5 à 10 % des effets secondaires sont remontés aux organismes de pharmacovigilance.
En conclusion de leur présentation, les membres de l’association Réinfo Liberté défendent leur discours en précisant qu’ils ont trouvé les mêmes résultats sur « deux continents différents ». Ils font alors allusion aux données obtenues en Amérique avec le VAERS, le programme américain pour la sécurité des vaccins, et avec l’EMA, l’agence européenne du médicament, traitant les données de pharmacovigilance sur la base d’EudraVigilance.
Selon Vincent Pavan et Emmanuelle Darles, quiconque est intéressé par ce sujet peut télécharger chez lui ces données publiques et effectuer les calculs. Pour mieux comprendre, les deux enseignants-chercheurs nous montrent étape par étape le déroulé du calcul.
Documents présentés dans cet entretien :