Naissance de BonSens
Le bon sens est de nos jours défini comme la raison.
La raison qui remplit le vide laissé par la science: «une capacité de bien juger, sans passion, en présence de problèmes qui ne peuvent être résolus par des connaissances scientifiques, ni par le solutionnisme technologique.
L’association BonSens est née de maintes discussions entre des citoyens de tous horizons Français et étrangers sur les constats, les causes et les conséquences de la pandémie. Les Français, ayant perdu confiance dans la parole des politiques et des médias, se réfugient sur les réseaux sociaux pour échanger, valider les information avec des interrogations légitimes tant sur la gestion de la crise, que les conséquences économiques ou d’autres considérations sociétales ou planétaires.
Des chercheurs, des médecins, des groupes de citoyens dénoncent les inepties de certaines décisions sur les masques, les tests, les traitements ainsi que la polarisation des décisions, sans débat aucun, sous couvert de la loi d’urgence. Les plateaux télévision ne font plus place au débat contradictoire. Les Français ont le sentiment que le débat leur échappe, que la démocratie ne joue plus son rôle.
Déboussolés dirons-nous ?
Le collectif a démontré sa supériorité au cours des derniers mois sur l’individualisme permettant à des citoyens de se former une opinion plus qualitative qu’ils sont prêts à défendre.
N’oublions pas que derrière toute expertise ou intelligence c’est avant tout une personne, un être humain qui les formule. Ces personnes d’abord de manière individuelle puis en s’agrégeant ont formés des groupes d’expertises, ici des mères de famille, des médecins, des microbiologistes, la des mathématiciens, des gilets jaunes, des chômeurs.
Il n’y a pas de place pour l’exclusion dans le bon sens, il n’y a pas de place pour le sectarisme ou le communautarisme. Dans ce collectif nous avons vu des personnes de tous horizons se retrouver et mettre de côté leurs différences de couleur de peau, de religions, leurs préjugés sur les uns et les autres, leurs préférences politiques. C’est de l’intelligence collective que naitra le bon sens pas l’inverse.
BonSens est né de ces échanges pour remettre avant tout le débat au centre des priorités de chacun et surtout former un consensus autour d’avis d’experts avant de décider d’actions juridiques si besoin est.
Dans les faits, la vérité est sous influence. La vérité de chacun est attaquée par de multiples influences qui entrainent le doute. Pas le doute positif qui permet à la science d’avancer, mais le doute négatif qui rend immobile ou même fait régresser. BonSens est là pour analyser chacune de ces influences et les rationaliser. La vérité est tellement sous influence, qu’elle en est arrivée à tendre vers le mensonge, qui son tour est aujourd’hui perçu comme l’équilibre stable dans la vie de tous les jours alors que ce devrait être le contraire.