La CEDH n’est pas aussi indépendante qu’on le croit, Grégor Puppinck
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Debriefing avec le docteur en droit Grégor Puppinck, au sujet des affaires de la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH). Il est directeur de l’ECLJ (Centre européen pour la liberté et la justice) et à ce titre évoque la récente décision de la CEDH sur l’obligation vaccinale pour les enfants (en PDF : Premier arrêt de la Cour sur la vaccination infantile obligatoire). Cette décision ne l’a pas surpris et il la considère comme une « décision politique » qui prend en considération la situation de crise actuelle.
Il évoque aussi le rapport de l’ECLJ sur les liens et conflits d’intérêts qui existent entre la CEDH et les ONG. Dans ce document intitulé « les ONG et les juges de la CEDH 2009-2019 » de 27 pages publié en 2020, l’ECLJ a évalué les problèmes au sein de la CEDH et la capture de cet organisme censé appliquer avec intégrité « les droits de l’homme ». De nombreuses annexes recensent entre-autres les liens d’intérêts des magistrats avec les ONG, les tierces interventions des ONG auprès de la CEDH
Il nous confie
« nous avons identifié de nombreux dysfonctionnements au sein de la CEDH et notamment le fait que 22 magistrats sur 100 viennent des ONG comme l’Open Society de Soros. » Et ajoute que « beaucoup n’ont pas de formation de magistrat. »
G. Puppinck tient aussi à préciser que « la CEDH n’a pas répondu à la question centrale portant sur la nécessité au regard de l’objectif de santé publique de rendre la vaccination obligatoire, car il apparaît que les pays n’ayant pas une vaccination obligatoire ont aussi un taux de couverture vaccinale élevé. »