Communiqué de Presse N°6
22 Novembre 2020
Les contenus de ce site ne peuvent donc pas constituer des provocations à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, ni non plus des provocations à adopter des pratiques ayant une finalité thérapeutique ou prophylactique.
BonSens.org, votre association
A ce jour nous sommes près de 23000 personnes à s’être retrouvées dans BonSens.org depuis le lancement il y a quelques semaines.
Retrouvez toutes les actions et actualités sur le site BonSens.org ainsi que sur le Facebook https://www.facebook.com/BonSensAssociation et sur twitter @BonSensOrg.
Merci beaucoup d’éviter de nous envoyer des emails à ce sujet, nous ne pourrons pas y répondre car nous avons chaque jour de très nombreux messages à traiter.
Nous avons découvert que le logo de BonSens avait été utilisé dans certains tracts par des anonymes. Nous demandons aux adhérents de nous rapporter si vous voyez de telles pratiques visant à nous discréditer. Les seuls documents officiels de Bonsens.org sont ceux accessibles sur notre site ici.
Info clés : les éléments importants de cette semaine
- Sur les chiffres: nous considérons qu’il y a des incohérences sur les chiffres fournis par le gouvernement entre les entrées à l’hôpital, le nombre de patients hospitalisés, la durée d’hospitalisation à la date de décès, le fléchage des décès et leur attribution à la cause Covid. Cela est d’autant plus accentué par la faible fiabilité des tests PCR pratiqués avec des seuils de cycle trop importants (>35). En résumé, on ne différencie pas les personnes qui meurent de la Covid19 , de ceux décédés avec la présence d’ARN viral (mais dont le décès n’est pas dû à la Covid). Il y a en moyenne depuis le 1er novembre 500 morts attribués à la Covid par le Ministère de la Santé ! Si nous prenons le taux de létalité de l’IHU Méditerranée qui est de 0,5%, il faudrait 100.000 malades pour avoir 500 morts ! Chiffre très largement supérieur au nombre de personnes hospitalisées pour la Covid. Comment est-ce possible ? Nous ne voyons aucune explication hormis le fait que des personnes mortes d’autres pathologies soient comptabilisées comme mortes de la Covid.
- De plus les chiffres donnés par les analyses virales des eaux usées (unité COMETE et OBEPINE) montrent une baisse de l’épidémie avant le confinement et avant le couvre-feu, ce qui a été confirmé par le Dr Louis Fouché dans son interview, et ce qui remet en cause les mesures liberticides. Mr Pujadas sur LCI en a aussi parlé ce jeudi sur LCI.
- La vaccination ARN est annoncée par le gouvernement avec des mesures liberticides. En préambule, il existe plusieurs type de vaccins. BonSens demande à ce que le bénéfice risque de tout traitement qu’ils soient un vaccin ou une thérapie génique, ait son innocuité démontrée avec suffisamment de recul. Nous déplorons l’usage de communiqué de presse des laboratoires à l’attention du grand public annonçant des résultats « mirobolants », sans qu’aucune publication scientifique ayant été soumise à « des pairs » n’ait été publiée. Ceci ne s’apparente pas à de la recherche scientifique mais à du « pur marketing » . Cela a des conséquences à court terme sur le cours de bourse des sociétés fabriquant ces vaccins, les poches des dirigeants et conditionne mentalement les individus, alors que le bon sens est que l’innocuité devrait être la priorité et une prise de recul devrait être de mise. BonSens s’emploiera à demander à ce que les effets secondaires soient mis en évidence que ce soit en phase 3 ou par un suivi attentif en pharmaco-vigilance post-commercialisation. Rappelons que Pfizer a déjà eu nombre de problèmes avec d’autres traitements qui ont dû être retirés. L’homme ne doit pas servir de cobaye.
- L’OMS a déclaré : le médicament antiviral remdesivir n’est pas conseillé pour les patients admis à l’hôpital pour le Covid-19, quel que soit le degré de gravité de leur maladie, car il n’y a actuellement pas de preuve qu’il améliore la survie ni qu’il permette d’éviter d’être placé sous ventilation artificielle. L’UE a pourtant acheté pour 900 million d’euros de ce traitement. La Députée européenne Michele Rivasi a demandé que ce contrat soit annulé pour dole c’est-à-dire vente avec un vice caché. Nous rappelons le travail fait pour le remdesivir qui avait reçu de nombreux supports de communiqué de presse, incitant l’UE à réserver des doses, pour finalement, quelques mois plus tard ne pas s’en servir.
- Des manifestations se multiplient sur tout le territoire contre les lois liberticides et nous constatons qu’elles ne sont pas couvertes dans les médias
- Nous avons assisté à une attaque de FranceSoir et BonSens par l’AFP et certains médias, ce que nous déplorons.
Le film documentaire Hold-Up
Une action en diffamation a été intenté par les deux producteurs avec comme avocat Me Carlo Brusa suite à la position des médias. Comme précisé dans notre communiqué précédent, nous soutenons la liberté d’expression. Nous regrettons qu’un débat n’ait pas eu lieu à ce sujet.
Les actions menées de la semaine
- Actions juridiques :
- Remdesivir et Union Européenne: action envisagée sur la responsabilité des diverses instances sur le remdesivir y compris sur les conséquences économiques pour la France et le rôle des différentes parties dans le support à la décision et dans la prise en considération des données cliniques disponibles au moment de la décision.
- Revue des actions au pénal sur le décret Rivotril: si nous trouvons une action en cours nous la supporterons ou en lancerons une. (Ceci a été couvert par FranceSoir et une enquête a eu lieu sur France 3).
- Communication
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- Débriefing des médecins brésiliens Dr Alexandre Volkoff et Dr Silvia Fonseca médecins brésiliens qui ont soigné 200 000 patients au Brésil.
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- Debriefing d’Alexandra Henrion-Caude sur l’état de l’épidémie et le fait que les mesures liberticides soient appliquées de manière généralisées non nuancées.
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- Pour ceux qui ne l’ont pas vu, il y a eu aussi le débriefing du Docteur Stéphane Gayet médecin infectiologue au CHU de Strasbourg qui a été publié lundi 16 novembre.
- Autres actions
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- Les résultats de l’enquête sur un échantillon représentatif de 2000 français ont été publiés. Seuls 23,7% des français ont confiance dans les actions du gouvernement alors que 54% des français n’ont pas confiance dans les actions du gouvernement. Les détails de ce sondage sur ce que pense les personnes interrogées concernant les mesures mises en place par le gouvernement, sont très intéressants.
Les questions importantes sur lesquelles nous cherchons des témoignages, experts et supports en ce moment sont :
- Décret Rivotril: un point important qui attire notre attention est « le décret Rivotril » et la possibilité que ce soit considéré comme un acte de « non-assistance à personne en danger ». Le Rivotril est un médicament qui a été recommandé en compassionnel dans les EHPAD, c’est un antiépileptique qui a été utilisé comme un narcoleptique. C’est un dépresseur respiratoire qui est contre indiqué en cas de maladie pulmonaire aigüe. L’utilisation de Rivotril peut donc précipiter la mort de personnes âgées, ce qui s’apparente à de l’euthanasie. Nous travaillerons avec des médecins et avocats à ce sujet. Rappelons qu’en juin 2020, le professeur Trouillas a porté plainte au Conseil d’Etat.
- Le suivi de la mortalité de la Covid-19 par rapport aux autres virus des années précédentes
- Impact du port du masque sur les autres maladies infectieuses. Il faut faire attention car il existe divers types de masques. Il y a plusieurs observations émanant de professionnels à ce sujet. Les masques peuvent être utiles mais la position qui semble naitre est que le type de masque et son utilisation doit être précisée et adaptée à l’environnement et la situation.
- Impact économique et psychiatrique du nouveau confinement.
- Impact du télétravail sur tous ses aspects.
- Rupture d’égalité lié au confinement et entre divers métiers (restaurants, bars, petits commerces,..)
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La France a besoin de Bon Sens qui est au centre de nos préoccupations citoyennes.
A propos de BonSens.org
L’association a été créée par des citoyens, artisans, entrepreneurs, paysans, avocats, ouvriers, scientifiques, médecins, professeurs… des gens de bonne volonté et de bon sens afin d’agir et faire face aux défis sanitaires et écologiques que le monde va affronter dans les prochaines décennies. Cette association a pour vocation de fédérer ces acteurs de la société autour d’actions centrées sur la santé.
Le statut de membres fondateurs ne donne pas de droits mais des devoirs.
« Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée car ce n’est pas assez d’avoir l’esprit bon, mais le principal est de l’appliquer bien. Les plus grandes âmes sont capables des plus grands vices aussi bien que des plus grandes vertus; et ceux qui ne marchent que fort lentement peuvent avancer bien davantage, s’ils suivent toujours le droit chemin, que ne font ceux qui courent et qui s’en éloignent.»
Notre mission est de participer activement et durablement pour les générations actuelles et futures: Au maintien, A la promotion, A la transmission des voix de bon sens des acteurs conscients de cet héritage culturel sur la base d’un constat sans appel qui met en exergue les éléments suivants :
- Méconnaissance répandue de la diversité et de la richesse de nos connaissances.
- Appauvrissement de notre recherche et raréfaction du choix
- Drame humain : Des millions de français non soignés pendant la crise de la Covid19 du fait de décisions en décalage et de nombreux conflits d’intérêts
- Drame social : accès devenu inéquitable, qui entraine anxiété, désespoir et suicides.
- Drame économique : silence coupable des procédures de licenciements résultant de la Covid19
- Ralentissements juridico-administratifs devenus inappropriés avec la Covid19
Les ambitions de l’association
- Éclairer les évènements par le bon sens pour aider aux choix des décisions et à leur respect
- Sauvegarder notre diversité socio-culturelle et notre capacité d’innover et de développer
- Aider au traçage des décisions
- Assurer l’indépendance et la transparence des décisions
- Garantir une santé de base meilleure pour la population
- Garantir la priorité absolue d’assurer sécurité, santé, et intérêt des citoyens